J’adore l’univers Marvel et tous ses héros que ce soit en films, séries ou en comics, même si parfois il faut le dire c’est déroutant quand on ne suit pas la chronologie et surtout à travers les différents auteurs, mais j’adore aussi les comics qui nous racontent les aventures d’autres héros moins connu mais tout aussi prenant dans la narration. Aujourd’hui c’est The seven deadly sins que nous propose Panini, une sorte de suicide squad non pas moderne mais plutôt du Far-west. Une bonne idée ?
Synopsis
1867, Texas. Un prêtre libère six criminels promis à la potence, et leur propose une mission-suicide en territoire comanche. Emmenés par un hors-la-loi au passé sanglant, ces individus peu recommandables partent à la recherche de ce dont ils ont rêvé toute leur vie : la liberté.
C’est comment ?
Le pitch m’a clairement plu et je dois dire que c’est une période, les cowboys et les indiens, qui est plaisant à lire en comics, tant la violence et l’anarchie y était présente. The seven deadly sins est clairement dans cette ligne de conduite. Violent, sale mais qui évite la vulgarité et se lit avec grand plaisir. Un peu comme un Tarantino qui ne se regarde pas au cinéma, mais dont on tourne les pages. On est embarqué dans une histoire rythmé et sanglante ou les flash-backs nous donnerons des rebondissements surprenants. On est dans une escalade de sang pour finir dans une apothéose ou nos 7 vilains auront leur mot à dire. J’ai adoré les dessins totalement originaux à la limite de la caricature qui nous montre encore plus la laideur de cette époque et de la vie qu’avait ces gens dans cette période.
Conclusion
The seven deadly sins n’est pas un comics à mettre entre toutes les mains et le lecteur doit être conscient que ce qu’il va lire est un contenu violent, mais qui nous parait tellement réaliste et nous fait transpirer la réalité de l’époque. C’est un excellent ouvrage et je ne peux que le recommander.
Ma note : 16/20