Avis comics The Witcher : la malédiction des corbeaux.

Je suis un mega fan de The Witcher depuis le jeu vidéo The Witcher 3 : Wild Hunt (le collector de fou!!!!!!) ou j’ai vraiment découvert la licence. J’avais commencé le second épisode, mais je n’avais pas le temps de me lancer à cœur perdu dans un RPG si long à l’époque et je l’avais donc à peine survolé. Après avoir passé pratiquement trois cents heures sur le trois, je peux dire que je connais mon sujet. Avec la sortie récente de la série Netflix The Witcher est en mode buzz actuellement. Et ce n’est pas prêt de se finir. Voilà donc que Urban comics nous propose le comics The Witcher : la malédiction des corbeaux.

Synopsis

Après avoir survécu à la Chasse Sauvage et sauvé le monde d’un hiver éternel, Geralt de Riv poursuit la formation de sa protégée, Ciri, au rude métier de Sorceleur. Sur la piste d’une strige terrorisant les environs de Novigrad, l’apprentie chasseuse de monstres cherche à en savoir toujours plus sur la créature. Au fil des haltes jusqu’à la capitale rédanienne, Geralt lui révèle les détails de sa dernière rencontre avec une strige du côté de Wyzima, un combat qui faillit lui coûter la vie.

Au début de ma lecture de The Witcher : la malédiction des corbeaux certains détails me dérangeaient et ne collait pas avec les romans de Andrzej Sapkowski (j’ai fait des recherche sur internet après Wild Hunt et quelques lectures). Le plus flagrant était que Géralt portait ses deux épées, alors qu’à la base la deuxième c’est Ablette qui la porte. Et je me suis rendu compte que ce comics était inspiré des jeux vidéo et non des romans. Passé cette surprise j’ai dévoré The Witcher : la malédiction des corbeaux et on est d’ailleurs projeté juste après Wild Hunt et l’une des trois fins ou Géralt apprend le métier de sorceleur à sa fille. Après la série Netflix j’étais à deux doigts de me relancer dans Wild Hunt, c’est donc avec un soulagement pour ma IRL que je me suis contenté du comics. Je suis un peu dubitatif devant ce premier tome. Un sentiment mitigé. L’histoire est très bonne et centralisée sur Ciri et Géralt avec la venue attendue de Yennefer. Tout comme la série on a droit à des périodes du passé et du présent, mais à la différence c’est que là c’est précisé et on ne se sent pas perdu. Le caractère de notre sorceleur transpire vraiment bien à travers les pages du comics et celui fougueux de Ciri pareil. Et que dire du charisme et de la beauté de Yen ? <3 <3 <3. Malheureusement l’univers n’est pas assez expliqué ou approfondi, on se concentre vraiment sur nos héros et leur quête principales. Il manque ce secondaire si riche dans le troisième The Witcher. Les dessins sont propres et les couleurs très bien exploitées avec de très bon jeux d’ombreset on y retrouve clairement le monde que l’ont connait. Il manque ce petit palier de violence et d’érotisme pour être à 100% comme les jeux et romans.

Ce premier tome de The Witcher : la malédiction des corbeaux est de bonne augure pour la suite et Urban comics avec sa série Urban Games à trouvé de quoi faire plaisir aux fans de jeux vidéo et des lecteurs. Vous pouvez vous jeter sur ce premier chapitre les yeux fermés. Ce tome est disponible au prix de 15,50€ frais de port inclus. Ma note 15/20

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