J’avais vu passer sur le compte instagram de Glénat les photos et les visuel de UCC Dolores et aussitôt cela m’a attiré l’œil. Cette sensation de voir du Star Wars en coloré et même un peu du Valérian, mais version BD pas la version du film qui était très beau certes, mais l’histoire et le jeu d’acteur n’était pas au firmament. J’ai donc prié pour recevoir cette nouvelle licence qu’est UCC Dolores car c’est clairement le genre de lecture qui me plait et que je dévorais étant adolescent. J’ai même eu la chance d’avoir le press-kit qui est splendide avec cette couverture fêtant les 50 ans de Glénat. Je me suis donc lancé dans la lecture des deux premiers tome. Une réussite ?
Synopsis
C’est un grand jour pour sœur Mony. A 18 ans, il est temps, pour cette orpheline recueillie à la porte du couvent des Nouveaux Pionniers, de quitter le nid et de trouver sa voie. Mais à peine propulsée dans le monde extérieur, voilà que la jeune fille découvre être l’héritière du UCC Dolorès, un croiseur de guerre de l’armée confédérée ayant appartenu au général Mc Monroe, de sinistre mémoire ! Incapable de manœuvrer un tel engin, la candide Mony se met en quête d’un pilote et trouve Kash, vétéran taciturne et désireux de changer de vie. Ensemble, ils prennent la direction de la Frontière aux commandes du Dolorès, un vaisseau au passé mystérieux !
Bien ou très bien ?
Qu’ont se le dise de suite j’ai dévoré les deux premiers tome dans la foulée et sans m’arrêter. C’est clairement ce genre de comics que j’attendais depuis des années. De la science fiction on en manque pas bien sûr, des références aux licences mythiques aussi, mais l’univers que vient de créer Didier Tarquin (Un français cocorico) est juste sensationnel et le mot est faible. Je suis tellement fan de UCC Dolores et en 2 tomes seulement que j’imagine déjà les potentiels films qui pourraient en sortir. Les dessins sont d’une justesse et font mouche aussitôt. Didier nous met des palettes heu des paillettes plein les yeux. Pour son arrivée chez Glénat avec UCC Dolores c’est banco. On est dans un format de bande-dessiné, mais quand on ouvre le livre c’est un mélange des genres comics-BD qui se mari parfaitement.
Planche du tome 2 de U.C.C. Dolores
L’univers impitoyable
Ce qui est sur c’est que sœur Mony va vite comprendre que le monde en dehors de son couvent n’est pas du tout ce à quoi elle s’attendait. UCC Dolores est un héritage plein de mystère et des personnages pleins de secrets vont vite tourner autour d’elle. Justement en parlant de personnages au-delà de leur charisme évident, Didier Tarquin a cette faculté à nous plonger dans leurs histoires et d’essayer de deviner ce qu’ils cachent ou ce qu’ils espèrent trouver. La découverte de planète et de culture nouvelle avec des liens évident est très bien amené et donne envie d’en découvrir plus. Et puis ce dieu Tassili (Tiens référence à l’Algérie avec le désert et la région ?) plein de mystère a t’il un lien avec Mony ? Tant de questions et de réponses qui donnent d’autres questions et cette sensation que tout est lié…
Quelques planches du tome 1 :
Conclusion
Vous aurez compris que c’est un gros coup de cœur que j’ai pour UCC Dolores. Les deux premiers tomes ont été lu d’une traite et le reproche que je peux faire c’est que c’est trop court!!! Les trois premiers tome seront le premier cycle et j’ai hâte de le lire la clôture de ce cycle et de découvrir la suite. Foncez. Chaque tome est disponible au prix de 13,90 € frais de port inclus. Ma note : 18/20