Avis manga : Capeta – Tomes 1 et 2

J’étais passé à côté de l’annonce de Capeta, mais je me suis rapidement rattrapé en achetant ces deux premiers tomes. Comment ne pas être hypé par un manga qui va parler de sport automobile. J’adore ça et je suis sur que je ne suis pas le seul. Alors montez avec moi dans le train de la hype et partons ensemble découvrir ces deux premiers tomes. Comme bien souvent, j’évite les spoils et je vais essayé d’être évasif le plus possible. Le but est de vous donner un ressentit sur ma découverte des tomes 1 et 2 du manga Capeta. Mais avant de vous parler de l’œuvre, parlons de l’éditeur : Noeve Grafx, un éditeur qui propose de plus en plus de nouveautés tout en cherchant a se démarquer comme en proposant une collection nommée XS qui propose certains titres au petit prix de 3,95€ chaque tome ! C’était le cas par exemple pour Coppelion, j’avais bien accroché aux deux premiers tomes la également.

Capeta, une œuvre déjà culte au Japon

Le manga est terminé au Japon, en 32 volumes, oui vous êtes prévenus du coup ! Il a aussi été adapté en animé, j’ai loupé ça et clairement après avoir lu ces deux premiers tomes j’ai bien envie de le découvrir. Quoi qu’il en soit, Capeta était l’un des titres phares de la revue mensuelle Gekkan Shônen Magazine de 2003 à 2013 ! Oui durant 10 ans, rien que ça.

Nous allons découvrir Kappeita Taira, surnommé Capeta, un petit mec de 8 ans. Sa mère est décédée il y a longtemps et depuis son père Shige s’en occupe seul. Enfin, il s’en occupe quand il peut, car il bosse beaucoup, principalement pour subvenir aux besoins de la famille. Mais Shige ne s’en rend pas compte, Capeta à clairement besoin de son père. Pourtant ce dernier souris constamment, ne demande rien, fait tout pour aider son père ou ne pas l’embêter du moins. Mais nous lecteurs, nous savons qu’il y a un petit malaise dans tout ça. Capeta c’est aussi un passionné de voitures, on le voit, il reconnait déjà de nombreux modèles, il fait semblant d’en conduire. Il a d’ailleurs hâte d’être plus grand pour piloter par lui même un véhicules.

Quand son père se lance en douce dans la fabrication d’un kart, le petit Capeta va clairement devenir fou ! Il est tellement heureux et se voit déjà le piloter et être un grand champion. Mais avant de pouvoir potentiellement accomplir se rêve, il va devoir s’entrainer et s’améliorer. Surtout que vous ne le savez pas, mais le sport automobile à toujours été considéré comme un « sport de riche ». Acheter, entretenir, utiliser un kart, cela coute cher et malheureusement Shige ne peut combler toutes ces demandes.

La découverte du Kart, l’amour du sport automobile

Ces deux premiers tomes sont vraiment passionnant. Mélange d’émotions, de découverte, des premiers doutes et des premières réussites. L’occasion de voir Capeta renouer avec son père sur le plan physique et émotionnel. L’occasion de voir à quel point Capeta peut devenir un pilote de course incroyable. Dès les premières minutes sur son kart il va éblouir par sa présence et son talent. Les dessins de Masahito Soda sont d’une grande qualité, avec un réalisme saisissant tant dans les véhicules que dans les décors. Les premiers moments de conduite, bien que brefs, sont déjà intenses, grâce aux perspectives rapprochées des conducteurs près de la route, ce qui laisse présager de grandes promesses pour la suite. Les designs des personnages sont expressifs et captivants, reflétant toute une gamme d’émotions, de la rage à la douceur. J’ai plus qu’adoré ces deux premiers tomes de Capeta, j’ai vraiment hâte de lire la suite !

Quelques planches :

 

Capeta – Auteur : Masahito Soda – Éditeur : Noeve Grafx

Chaque tome est disponible au prix de 7,95 € frais de port inclus. Ma note pour ces tomes : 18/ 20

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