J’ai une nouvelle fois découvert une nouvelle licence, cette fois-ci chez Glénat. Nous découvrons donc Komekamaru, un homme à l’identité inconnue qui dégage une certaine aura, pourtant a première vue il semble assez inoffensif. Mais c’est loin d’être le cas, ce Komekamaru dégage une odeur de sang, il ne possède qu’un bras, mais son absence de bras gauche cache surtout un pouvoir, une véritable force. Nous sommes en pleine époque Kamakura, année 1246, une époque héroïque et chevaleresque ou les guerriers prennent une grande importance.
KEDAMAME © 2014 Yukio TAMAI / SHOGAKUKAN
Dans ce premier tome nous allons bien-sûr découvrir quelques informations sur Komekamaru mais aussi sur d’autres personnages comme deux danseuses allant de village en village afin de répandre leur art et de gagner leur vie. D’ailleurs Komekamaru accompagne ces deux danseuses et nous allons rapidement découvrir que l’une d’entre elle n’est pas qu’une simple danseuse, mais bien une descendante des « Taira », elle pourrait donc prétendre à une place de princesse impériale si sa famille était au trône. L’histoire est un peu complexe mais plus nous avançons dans ce premier tome et plus nous découvrons qui protège qui et de quel ennemi. Komekamaru reste cependant encore un personnage mystérieux, il semble être du bon côté et cherche à protéger justement la princesse Mayu, heureusement pour elle il semble doté de certains pouvoirs (il peut entendre des voix, des bruits, sur de longues distances), il est aussi très rapide, puissant et agile. La suite s’annonce vraiment mouvementée. Une nouvelle licence se terminant d’ailleurs en 4 tomes. Graphiquement c’est assez plaisant de découvrir cette période du Japon pas si souvent utilisée, Komekamaru est un personnage vraiment énigmatique et charismatique, j’ai hâte d’en découvrir plus sur lui.
KEDAMAME © 2014 Yukio TAMAI / SHOGAKUKAN
Kedamame – Auteurs : Yukio Tamai – Éditeur : Glénat – Type : Seinen
Chaque tome est disponible au prix de 7,6 € frais de port inclus. Ma note pour le manga (tome 1) : 3.5 / 5