Après la découverte du premier tome du manga La déesse de 3000 ans, j’étais clairement intrigué concernant la suite de cette licence en 3 tomes. Très sincèrement, je me surprends à apprécier ce genre de manga. C’est doux, mais c’est prenant, l’ambiance est particulière pourtant mais ça me plait bien dans l’ensemble. Un seinen pas comme les autres qui pourrait vraiment vous intriguer.
La déesse de 3000 ans : une ambiance particulière mais prenante
Le premier tome était l’occasion de découvrir les bases de l’histoire : Mitama une divinité qui cherche à ne plus l’être, pour cela, elle compte épouser Junzo Shiba, un jeune homme qui semble avoir quelques particularités : déjà la voir mais aussi l’entendre. Ce duo improbable va rapidement devenir appréciable et surtout attachant. D’un côté, on a envie de voir ce petit (futur) couple évoluer, d’un autre, les voir voyager a travers différents paysages est aussi très plaisant.
Mitama ne souhaite qu’une chose finalement : avoir une vie normale. Mais pour cela, elle doit retrouver un sceau pour pouvoir se libérer. C’est comme cela qu’ensemble ils vont partir à la recherche de ce fameux sceau. L’occasion pour le lecteur de visiter différents endroits et je peux vous dire que très clairement, le dessin est fou. L’auteur fait un boulot monstre. Il vous suffit de regarder cette double-planches pour admirer le nombre de détails et la profondeur. Je suis totalement sous le charme de ce coup de crayon. J’espere rapidement retrouver l’auteur dans d’autres séries. En attendant La déesse de 3000 ans est un voyage très sympa à travers le Japon et cette ambiance divine. Le tome 2 se laisse lire avec beaucoup de plaisir, l’histoire est un peu secondaire, mais j’ai hâte de lire le dernier tome. Bravo Michel Lafon de nous proposer cette histoire et cette ambiance un poil hors norme.
Quelques planches (tome 1) :
La déesse de 3000 ans – Auteur : Katô Fumitaka– Éditeur : Kazoku (Michel Lafon)
Chaque tome est disponible au prix de 7,95€ frais de port inclus. Ma note pour ce tome : 15/ 20