Si vous ne connaissez pas Platinum End, vous connaissez peut être Death Note ? Ça tombe bien puisque ce sont les mêmes auteurs derrière ces deux licences. Le manga est disponible petit a petit en France mais Kazé propose aussi de découvrir un nouveau chapitre chaque mois en ligne. Une belle initiative même si pour moi rien ne vaut la version papier, je pense jamais m’y faire à une version dématérialisée d’un manga.
Le troisième tome de Platinum End nous fait découvrir deux nouveaux personnages, l’un est Nanato Mukaidô, lui aussi cherche à combattre Metropoliman et donc souhaite s’allier à Mirai et Saki. Ce nouveau personnage à une histoire vraiment intéressante, il allait mourir quand un ange est venu lui proposer de devenir le nouveau Dieu. Atteint d’un cancer en phase terminale et voulant continuer de vivre le choix était vite fait. Dans un premier temps il s’est assuré que ça famille pourrait continuer de vivre décemment après sa mort (son cancer est toujours en stade terminal) puis en découvrant comme beaucoup de monde Metropoliman au stade de base-ball il souhaite maintenant tout faire pour que Metropoliman ne devienne pas le nouveau dieu. Tout ça semble bien trop risqué pour le reste de l’humanité.
Le second personnage est lui du côté de Metropoliman, il s’agit d’une jeune tueuse en série condamnée pour avoir tué plusieurs filles (qu’elle trouvait moche, ouais, il lui faut pas grand chose pour vouloir tuer des gens). On se retrouve avec un stéréotype un jeu japonais d’une jolie fille japonaise proche d’un mannequin aux gros boobs voulant continuer de tuer. L’association est puissante mais Metropoliman utilise cette fille surtout pour attirer d’autres anges afin de les tuer et donc de devenir le prochain dieu… On avance petit à petit dans l’histoire et le prochain tome s’annonce vraiment intéressante et surtout propose très certainement un beau combat entre nos « héros » et Metropoliman.
Trailer vidéo :
Question dessin on reste toujours sur quelque chose de qualité, chaque personnage a vraiment du charisme et j’aime beaucoup Metropoliman (sans son costume surtout), Mirai est encore pour le moment un peu trop effacé, un peu trop en retrait, un peu trop peureux peut être. Vivement son émancipation afin de sauver à la fois d’autres anges, d’autres humains, mais également sauver sa peau (et celle de la fille dont il est amoureux : Saki). Un troisième tome loin d’être mauvais, avec encore une fois quelques surprises grâce à Metropoliman qui semble imprévisible. Vivement la suite !
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