Voila un moment que je vous avez pas parlé de The Promised Neverland, non pas que je n’aime pas la licence, bien au contraire. J’avais juste beaucoup de retard sur l’histoire… Mais j’ai décidé il y a quelques jours d’enchainer les tomes (comme à l’époque avec Tokyo Revengers) et quel plaisir ! J’accroche toujours autant au scénario et au dessin, c’est vraiment une licence que je peux vous conseiller. L’animé est malheureusement pas à la hauteur (surtout la saison 2), j’espère que ça va encourager les fans a continuer l’aventure en version papier. Moi c’est clairement ce que j’ai fait et je suis pas déçu. Aujourd’hui je vais vous parler du tome 19, l’avant dernier tome de cette belle aventure. On sent que la fin approche d’ailleurs, tout ce bouscule et s’accélère.
Pour moi le gros point fort ans The Promised Neverland, c’est le scénario. Tout au long de l’aventure, il y a des rebondissements, des morts, des surprises. J’aime beaucoup ce genre d’ambiance ! Dans les précédents tomes, nous retrouvions Norman, alors à la tête d’une petite armée avec une ambiance incroyable : éliminer les « gros » démons, les chefs, la reine, afin de foutre un bordel monstre et de prendre le pouvoir du peuple. Le but est simple en réalité : survivre. Donner un espoir et un avenir aux enfants. On sent que Norman a préparé ça durant de longues semaines et on a clairement l’impression que ce plan est infaillible.
YAKUSOKU NO NEVERLAND © 2016 by Kaiu Shirai, Posuka Demizu/SHUEISHA Inc.
Mais Emma n’est clairement pas d’accord avec lui. Elle ne veut pas éliminer les démons. A la première lecture j’ai eu du mal a comprendre son choix. Après autant de galère avec les démons, comment peut elle vouloir les sauver ? Mais on va rapidement se rappeler de la présence de Sonju et Mujika, des démons « gentils » qui ne semblent pas avoir besoin d’humain pour continuer a vivre. Car la réalité c’est bien ça : les démons ne tuent pas forcement pour le plaisir mais aussi pour survivre et rester « humain et intelligent ». Un réel dilemme se créé donc entre Norman et sa bande et de l’autre côté Emma, Ray et les enfants.
Une histoire prenante
Mais ce n’est pas tout, car oui, dans The Promised Neverland, l’histoire est riche. Il y a des couches et des sous couches, il faut clairement suivre. Enchainer le tomes était d’ailleurs la meilleure des idées pour ne pas perdre le fils. Emma semble avoir établi un pacte avec cette mystérieuse personne inconnue qui semble pouvoir résoudre tous les problèmes et amener les humains vers la terre. On ne connait toujours pas les tenants et les aboutissants d’ailleurs, c’est encore un mystère. Mais tout s’enchaine, la guerre à commencé et bien plus encore, de nombreuses têtes sont tombées, Sonju et Mujika sont capturées par Peter Ratri et il à qu’une idée en tête : éliminer tous ceux qui s’oppose à son idée. On va enchainer les confrontations d’un côté comme de l’autre et comme d’habitude on va aller de surprise en surprise. C’est vraiment difficile de prévoir ce qui va se passer et c’est toujours aussi plaisant à lire.
Je décide clairement de ne pas trop vous spoiler. Car une fois de plus, le point fort de la licence The Promised Neverland, c’est l’histoire. Mais à coté de ça, le dessin, signé Posuka Demizu, est vraiment cool. Il y a des planches magnifiques et l’auteur sait mettre en avant certains éléments, certains personnages. Encore une fois, la lecture du manga est ultra plaisante et je ne peux que vous conseiller cette histoire en 20 tomes. J’ai hâte de découvrir la fin de l’histoire ! Vivement.
Quelques planches du tome 19 :
The Promised Neverland – Dessin & scénario : Kaiu Shirai & Posuka Demizu – Éditeur : Kazé – Type : Shônen
The Promised Neverland est disponible au prix de 6,79 € frais de port inclus. Ma note pour ce tome de The Promised Neverland : 16 / 20