À chaque sortie d’un nouveau tome de Dragon Ball Super, j’ai hâte de découvrir les nouveaux chapitres. Encore une fois, la cover me hype, je la trouve vraiment jolie avec ce parallèle entre Goku et sa famille et Bardock et sa famille (dans le reflet). Sur la 4ème de couverture on retrouve le même principe avec Gohan et sa petite famille et dans le reflet Goku et sa famille. Je trouve ça mignon moi ce genre de visuel. Mais Dragon Ball Super, ce n’est pas qu’une cover. C’est surtout une histoire, de nouveaux arcs et de trop nombreuses transformations. La, je rejoins les haters, les antis-DBS, les rageux qui pèste au moindre faux pas de Toyotaro. Moi c’est pas mon cas, je suis pas si difficile, pas si énervé. J’essaye juste de prendre mon pied en profitant de personnages que j’apprécie toujours autant.
Retour dans le passé avec Bardock
Alors oui, dans Dragon Ball Super, c’est vrai, il y a trop de transformations, oui ce n’est pas le dessin de Toriyama le GOAT, mais sincèrement, c’est très loin d’être mauvais. Surtout les derniers arcs. L’arc Granola arrive sur sa fin et nous propose surtout un parallèle avec l’histoire de Bardock. L’occasion de voir la mère de Goku en scène, l’occasion de voir que le « grand cœur » de Goku c’est quelque chose de famille. Granola est désormais du côté de Goku et Vegata. Face à eux, on y retrouve Gas le nouvel être le plus puissant de l’univers.
Comme d’habitude, on va enchainer les phases de combat et voir à quel point Goku et Vegeta sont toujours autant irréguliers. C’est l’âme de saiyen qui aime combattre des personnes plus fortes, mais leur esprit, leur fierté, leur empêche de combattre finalement ensemble, ou de fusionner comme à l’époque ? Chacun tente sa transformation alors que finalement, chacun à du mal à la maitriser pleinement. De son côté Goku continue à demander des conseils à Whis (et comme à son habitude, ce dernier souhaite qu’il se débrouille seul). Concernant Vegeta, sa dernière transformation semble être presque acquise. Mais pour devenir plus fort, il doit aussi prendre plus de coups, il faut donc savoir gérer le juste milieu.
En-tout-cas, visuellement, je trouve ça toujours aussi plaisant, il y a des rebondissement, de belles planches, de beaux passages et comme d’habitude de nombreuses références aux différents univers et aux différents personnages. L’univers me plait toujours autant, visuellement ça me convient toujours, bref, Dragon Ball Super reste une lecture très plaisante et j’ai hâte de découvrir le tome 20 de la licence (déjà).
Dragon Ball Super – Auteurs : Toyotaro et Akira Toriyama – Éditeur : Glenat – Type : Shōnen
Chaque tome est disponible au prix de 6,90 € frais de port inclus. Ma note pour ce tome : 17 / 20