Test Dying light 2 : Stay human. Une suite vraiment à la hauteur ?

J’avais beaucoup aimé Dead island et ensuite son spin-off Dying light. SIx ans après la suite de ce dernier débarque sur consoles et PC. Cependant, j’ai eu un peu peur quand j’ai vu que la sortie était en février. Cela a été un mois fabuleux niveau sorti jeux vidéo. Horizon Forbidden West et Elden ring rien que ça. Il fallait être culotté pour oser sortir Dying light 2 : Stay human à ce moment là. Néanmoins, la cible n’est pas la même et le style non plus alors pourquoi pas ? Après il faut aussi se demander si la vague de la mode zombie n’est pas passé et que les joueurs soient essoufflés.

Synopsis

Après que le virus d’Harran s’est répandu au monde entier, l’humanité a trouvé refuge dans les quelques derniers bastions encore debout. Les Pèlerins, des personnes voyageant à travers cet impitoyable monde post-apocalyptique, servent de liens entre les enclaves, transportant ressources et précieuses informations. Vous incarnez l’un d’entre eux, et vous trouvez dans La Ville, l’endroit où l’humanité retrouvera peut-être à nouveau espoir.

Premières impressions

Je suis un fan des FPS avec un vrai mode solo. Question mode solo Techland nous annonce plus de 500H de jeu pour finir Dying light 2 : Stay human à 100%. Je lance donc le jeu sur ma Xbox Série X et dès les premières minutes de jeu, Dying Light 2 m’a mis sur le cul en me plongeant dans son univers macabre où le peu d’humain s’accroche à la vie. 15 ans après l’épidémie qui a transformé la plus grande partie de l’humanité en morts-vivants prêt à tout pour vous tuer. Cette suite a vraiment une vraie évolution dans l’environnement. Nous plongeons encore plus loin dans un mode apocalyptique. Tous les personnages rencontrés sont abattus psychologiquement et comprennent que le futur est le présent. C’est vraiment poignant. On est clairement dans une très bonne impression. La direction artistique est top.

Un jeu de choix ?

Beaucoup de jeux peuvent nous proposer dans leur scénario des réponses à choix multiples pour donner une immersion plus poussée. Cependant, c’est assez rare que cela est un impact dans l’histoire. Dying light 2 : Stay human nous propose aussi cette possibilité. Néanmoins, les choix auront un impact réels et changeront totalement le scénario au fil de l’aventure. Vous pouvez avoir comme ami Lawan et si vous arrivez à avoir sa confiance, sera une alliée de poids. Mais l’inverse est tout aussi possible. Tout va dépendre de votre approche après des PNJ et de vos décisions. Il n’y a rien de plus immersif que cela. Cette sensation d’être décideur de son avenir n’est pas négligeable et donne du poids au scénario et l’aventure.

Gameplay

Le gameplay du premier opus était innovant avec ses balades sur les toits et ses escalades en tout genre. J’avais hâte de découvrir quelles évolutions allaient nous proposer Dying light 2 : Stay human. Techland a travaillé avec David Belle, père fondateur du parkour (c’est une discipline sportive acrobatique qui consiste à franchir des obstacles urbains ou naturels, par des mouvements rapides et agiles et sans l’aide de matériel). On peut dire que le travail est bien fait. On se balade tel un pro du parkour et c’est vraiment grisant. Cependant ce n’est là que la base du gameplay. Dying light 2 : Stay human reste un RPG-action ou les évolutions du personnage et de l’environnement reste primordiales. Mais vous allez adorer faire progresser le tout. Cela devient grisant et vous irez faire toutes les missions nécessaires pour chercher les éléments dont vous aurez besoin.

Conclusion

Dying light 2 : Stay human est une vraie réussite. La durée de vie monstrueuse vous permettra d’en avoir pour votre argent. L’univers est tellement riche que c’est typiquement le genre de jeu ou on y revient régulièrement pour faire des quêtes secondaires ou même des DLC venant s’ajouter au fil du temps. Ma note : 18/20

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