Test Just cause 4, Rico Rodriguez père et fils…

Et qui revoilà ? Non pas l’inspecteur Gadget je vous rassure (quoique le dessin animé était sympa en revanche le film…), mais bien Rico Rodriguez dans Just cause 4. C’est clairement le jeu défouloir par excellence, ce genre ou tu n’as pas besoin de réfléchir et ou tu dois seulement tout détruire, tout conduire et avancer. Mais après un très bon troisième épisode, cette licence va-t’elle se révolutionner, se réinventer ? Car bon il ne faut pas se mentir, même si on aime Just cause il vaut avouer que c’est assez répétitif dans son ensemble et si vous avez écouté le dernier Ze podcast vous connaissez mon avis global.

Synopsis

Nous retrouvons donc Rico Rodriguez sur l’île de Solis où il va essayer de renverser (tuer quoi) Oscar Espinosa qui détient une arme météorologique qui déclenche des tornades et veut forcément conquérir le monde avec son armée, la main noire. Rico avec sa propre armée, va contrecarrer les plans de ce tyran.

Aller plus haut.

Oui voilà vous avez la chanson dans la tête et j’en suis désolé, mais dans Just cause 4 il n’y a aucune limite dans l’absurde de l’action et les déplacements de Rico. Tous les véhicules que vous allez croiser pourront être conduit. Des avions de ligne, des jets, des hélicoptères de toutes sortes et même tout ce qui a des roues. Après les airs et la terre il y a la mer aussi. Mais ce n’est pas tout, car Rico a toujours son wingsuit, son parachute et son éternel grappin. Équipé de tout cela, vous allez pouvoir aller ou bon vous semble sur une immense carte que représente l’île de Solis. Et pour vous aider, une grande panoplie d’arme sera à votre disposition que vous devez trouver soit dans des coffres d’armements ou en tuant des guerriers de la main noire. Les déplacements (instantané si vous le désirez entre des points éloignés une fois débloqués) sont toujours WTF avec le grappin et fun. On accroche un point on se laisse tirer et dans l’élan vous enclenchez votre parachute et vous voilà propulsé dans les airs et ainsi lancez après le wingsuit c’est imparable. Une fois la prise en main faite à vous les sommets. Et si vous avez un problème un petit hélicoptère et hop le septième ciel est à vous.

La révolution.

Petite nouveauté dans Just cause 4, vous allez devoir « gérer » une armée de révolutionnaire pour vous aider dans votre quête. Je met en guillemet car la seule gestion va être de les déplacer sur la carte pour prendre possession des territoires que gère la main noire. Pour ce faire il va falloir détruire des éléments et faire de belles explosions pour gagner des points qui feront monter votre compteurs de révolutionnaire qui gonflera votre armée. Le but étant donc de détruire les antennes, les réservoirs et autres paraboles typiquement toujours présent dans les jeux Just cause. Une fois la mission pour libérer un territoire faite, si vous avez assez de troupes vous pourrez les déployer et ainsi grignoter petit à petit du terrain de la main noir pour finir par posséder toute l’île et vous attaquer à Oscar Espinosa. La destruction n’est pas la seule façon de recruter des troupes, les missions principales et secondaires seront aussi utiles.

Far Just cry

On ne va pas se mentir, mais Just cause 4 est très inspiré par Farcry et ce n’est pas le fait que ce soit un FPS qui vas nous tromper, mais quand c’est bon pourquoi s’en priver ? Le scénario même s’il est souvent secondaire dans ce genre de jeu est assez particulier, car on en apprend beaucoup sur Rico et ses parents, que toutes les histoires ou on a dirigé Rico à travers les trois premiers Just cause n’est pas anodin. Les graphismes dans le jeu sont vraiment très beaux et colorés. En revanche je suis déçu par les cinématiques sur ma PS4 classique de voir des défauts de couleurs ou de voir les cheveux des personnages brillants ou comme si c’était des blocs. Et que dire des textes qui sont minuscules et plusieurs fois j’ai dû me rapprocher de l’écran pour lire ce qu’on attendait de moi. C’est frustrant de se sentir vieillir, mais les développeurs ne sont pas obligés de le rappeler mdr.

Conclusion

Alors oui, Just cause 4 est loin d’être exempt de défaut que j’ai pu souligner dans ce test, mais il reste un pur défouloir et c’est fun de se sentir invincible et de pouvoir pratiquement tout détruire sur son passage, c’est fun de se sentir libre d’aller ou on veut. Just cause 4 fait ce qu’on attend de lui et pour cela il mérite toute votre attention.

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