Test Maneater : Un jeu qui a vraiment un sacré mordant.

Voilà le genre de jeu qui peut attirer mon regard. Le jeu totalement atypique et que l’on a pas l’habitude de voir. Alors quand Maneater est arrivé j’ai vite demandé à Koch média d’en avoir une copie pour vous en proposer un test. Et comme ils sont tous mignon tout gentil (humm un peu de lèche a jamais fait de mal mdr) j’ai reçu mon jeu. Mais au final Maneater n’est pas typiquement le jeu vidéo qui doit se cantonner à rester sur des supports mobiles ? Allons manger de l’humain pour se rendre compte.

Synopsis

L’histoire est assez simple, vous êtes un bébé requin qui se sauve après avoir échappé de justesse à un chasseur de requin du nom de Pete, et qui tue votre maman chérie, et qui du coup va vouloir se venger de celui-ci. Pour cela il devra devenir grand voir très grand pour au final atteindre son objectif.

Première impression

Dès les premières minutes de jeu on a le sentiment de liberté et de puissance surtout. Ce qui est logique car on dirige un requin adulte pour effectuer le tutoriel. Plus précisément la fameuse maman qui va se faire tuer par le chasseur Pete. Personnellement cette puissance m’a joué des tours une fois le tuto passé. Bébé requin n’est pas ce qui se fait des plus puissant et se faire bouffer par des alligators sera monnaie courante. Mais tout cela reste normal dans un RPG, on commence en bas de l’échelle et on doit évoluer en effectuant des missions ou simplement en mangeant des poissons et autres humains se trouvant sur votre route courant. Le principe de Maneater on le comprend vite il faudra manger, manger et encore manger. Petit requin deviendra grand.

RPG ?

Sous ses airs de : « je bouffe tout ce qui me passe sous les crocs » Maneater est en réalité un véritable RPG ou il faudra évoluer et faire évoluer votre requin pour en faire un véritable prédateur des océans et autres mers. Il faudra pour se faire manger du poisson et des crustacés qui vous apporteront divers objets qui feront évoluer une fois votre retour dans votre grotte. La particularité de Maneater est justement que toutes les évolutions possibles se feront uniquement dans une des grottes qui vous sert de tanière. Il faudra donc vous y rendre régulièrement pour choisir les évolutions possibles. L’aspect de votre requin sera modifiable aussi même si ça n’apporte rien mis à part le côté visuel, mais c’est assez fun. Une chose est sur c’est que vous n’allez pas pouvoir foncer tête baissée et qu’il faudra farmer votre prédateur pour attaquer les reptiles les plus puissants ou même les chasseurs. Mais le nivellement des forces est bien faite. Si un boss de mission est level 15 ce n’est pas parce que votre requin passe lui level 18 que le boss augmente sa puissance aussi. Il faudra donc ne pas hésiter à laisser de côté pendant un moment certaines missions et y revenir une fois votre bébé devenu monstre.

C’est comment ?

Je dois dire que je prends du plaisir à jouer à Maneater, ce côté atypique de diriger un monstre marin dans un open-world aquatique est rare dans le monde du jeu vidéo et pour moi ça fait mouche. Mouche car Maneater est bien fait dans sa globalité. C’est propre graphiquement avec le soucis du détail. Il suffit de regarder l’intérieur de la gueule du requin pour s’en rendre compte, voir le fond des océans qui sont des déchetteries Maneater fait en plus passer un message. Très peu de musiques sont présentes et on se retrouve avec le silence des fonds marins, mais accompagné d’une voix off qui n’hésitera pas à se moquer de vous lors de vos défaites. J’ai ragé un peu contre la caméra dans les phases de combats car il est impossible de fixer un adversaire et il vous faudra tourner et tourner pour retrouver visuellement votre ennemie. Une pression sur R3 vous permet de le retrouver plus vite, mais cela ne reste pas des plus pratiques. Le côté le plus important de Maneater c’est de manger des humains qui se baignent tranquillement. Mais là, attention plus vous en mangez plus votre jauge de menace se gonfle et des chasseurs viennent en nombre pour vous tuer. Et ils sont parfois accompagné par leur chef qui lui sera absolument à manger. Pour au final trouver Pete, ou c’est lui qui vous trouvera.

Conclusion

Pour une première, Maneater est bien réussi dans on ensemble. Il m’aura fallut une dizaine d’heures pour en venir à bout mais en ligne presque droite sans trop m’attarder aux quêtes annexes. Il y a quand-même trop de missions répétitives (manger 10 poissons de telles sortes etc…), mais on prend du plaisir à y jouer et c’est bien là le plus important dans le jeu vidéo.

Ma note : 14/20

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