Westworld – la série SF à ne pas louper!!

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Il y a des jours comme ça, où une série dont vous n’aviez pas suivi la communication vous tombe dessus et vous file un coup de marteau. Et bien c’est l’effet que m’a fait Westworld !

Puis vous commencez à voir le #Westworld fleurir sur twitter, par curiosité, vous voyez que c’est le duo magique J.J. Abrams et Jonathan Nolan qui sont derrières.

Pour rappel, J.J. Abrams c’est : Alias, Lost, Fringe, Revolution, Person of Interest, et au ciné les derniers Star Trek et Star Wars. Bref, on pourrait presque l’appeler Monsieur SF et scénarios d’anticipation. Suite à une magnifique collaboration et fin de série épique pour Person of Interest, ils remettent donc le couvert avec Westworld.

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Westworld, ça parle de quoi ?

Comme pour signer une continuité avec Person of Interest, Westworld aborde dans le pilote le thème de l’intelligence artificielle, et pose déjà la question d’entrée : à partir de quand estime-t-on qu’une machine n’est plus qu’une simple successions de lignes de codes, mais bel et bien un être vivant ?

C’est là où se situe le tour de force avec le pilote de Westworld, c’est que en un épisode, il y a déjà plusieurs questions ouvertes, et on sent déjà les sous intrigues venir avec des personnages encore mystérieux. On peut même déjà parler de la création d’une sorte de mythologie.

Westworld est un parc d’attraction dans le Far West, où les riches personnes de la planète viennent pour être eux-mêmes les acteurs d’un film dont ils sont les héros. Et les figurants sont des androids programmés pour réaliser les scénarios. A la manière des jeux vidéos, les vrais personnes sélectionne leur quête dans le village en arrivant, puis mène leur quête : traque d’un dangereux fugitif, allez dans les saloons et bordels de l’époque pour s’adonner à leur vice. Et le tout sans conséquence dans le monde réel, puisque tout est faux et que vous êtes dans un parc d’attraction.

Au niveau scénario, on pourrait presque mélanger : Assassin’s Creed, Hunger Games, Clones, The Island, I-Robot, et vous obtenez Westworld.

Au niveau scénographie, on est vraiment très proche de Assassin’s Creed. Dans le parc, on retrouve le décalage chronologique et un univers très coloré. Et dans les locaux de Westworld, c’est comme chez Abstergo dans les premiers épisodes de la série, un monde froid et sombre. J’aime beaucoup cette démarcation entre les deux.

Et comment ne pas parler de la musique d’intro, qui file des frissons ou bien de la réadaptation de Paint it Black pour une excellente scène dans la fin du pilote.

Avec en plus un casting de choix, dont M. Anthony Hopkins, comme dirait Miche & Michel, ça annonce du lourd, du très très lourd ! Vivement la suite, et merci HBO 😀

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