Test Yomawari the long night collection, prêt pour la peur ?

Yomawari the long night collection, c’est le genre de jeu que je ne connaissais pas du tout, j’avais regardé des screens et j’avais dit à Gohan que je voulais bien tester. J’aime bien découvrir des jeux sans savoir à quoi m’attendre. Je regarde le style (car oui j’en évite certains comme la peste) et je dis banco. Yomawari regroupe deux jeux sur une seule cartouche d’où l’appellation « collection » et qui dit deux dit double durée de vie. Rien que pour ça c’est cool si c’est ton genre de game. J’avoue qu’il m’arrive parfois de tomber sur des bouses, mais bon on ne va pas trop se plaindre. Alors, ce Yomawari je vais le mettre dans quelle catégorie ?

Synopsis

Je vais rester très succins sur l’histoire, car dès le début du jeu (le premier « Night alone ») il vous scotche dans votre fauteuil. Sachez juste que vous allez diriger une petite fille qui va rechercher sa soeur et son petit chien, dans une ville traditionnelle japonaise infesté de fantôme et autres créatures de la nuit. Dans le second (Midnight shadows) deux petites filles qui reviennent d’une fête, en traversant une forêt se retrouvent séparées à cause d’ombres bizarres. L’histoire commence à ce moment-là.

Premières impressions

Il va être dur de parler des jeux sans spoilers, mais ce que je peux m’accorder à dire c’est que ce n’est pas du tout ce à quoi on peut s’attendre d’un jeu si coloré et tout mignon. Sans trop vous dévoiler, il va vous falloir vous imprégner du jeu en vous mettant dans le noir et le plus drôle c’est que le jeu vous invite à le faire. Préparez-vous à revivre les peurs de votre enfance ou de vous en rappeler. Les premières minutes ont été très surprenantes pour moi et j’adore être pris au dépourvu dans un jeu. Cela confirme clairement que l’habit ne fait pas le moine, mais alors pas du tout. Vous allez souffrir dans Yomawari : The long night collection et vous allez aimer.

Gameplay et graphismes

Les jeux sont en vu en 3D isométrique avec des graphismes colorés malgré que les jeux se passent de nuit exclusivement, ils sont sensibles aux détails avec par exemple, la carte de la ville qui est dessinée en forme de dessin fait par une enfant, mais tout en restant visible et assez bien faite. Le gameplay est simple au possible. Vous possédez une jauge d’énergie pour courir et fuir les monstres que vous rencontrez, mais cette jauge ce vide plus vite quand vous éviterez les créatures de la nuit. Vous aurez aussi la possibilité de lancer des cailloux pour faire des diversions et passer tranquillement. Vous avez aussi la possibilité de vous cacher dans des buissons, ce que vous devez surtout vous dire, c’est que vous êtes bien une petite fille, armée d’une lampe torche, fragile que la moindre rencontre ne pardonnera pas. Les battements de votre cœur vous servirons de détecteur de vilains.

Une suite meilleure ?

Le deuxième épisode de Yomawari : The long night collection, intitulé Midnight shadows, corrige les erreurs et défauts de Night alone comme la jauge d’énergie que je trouve qui se vidait trop rapidement ou la lourdeur de l’héroïne qui se sentait manette en main. On peut également diriger le faisceau de la lampe torche, les statues qui servent de sauvegarde et de déplacement rapide sont plus nombreuses également. Le fait de diriger deux personnages différents amène permet de varier le plaisir. La carte est également plus grande et surtout les petites filles peuvent évoluer en augmentant la barre d’endurance et la possibilité de transporter plus de cailloux. Donc oui on peut dire que la suite est une belle évolution du premier, même si l’effet de surprise est lui passé.

Conclusion

Si vous êtes prêt à vous jeter dans les ténèbres en dirigeant de petites filles toutes mignonnes, Yomawari : The long night colection est fait pour vous. Gameplay simple et efficace couplé à un jeu des plus surprenant et peu courant sur la Nintendo Switch. Vous allez également apprécier de faire le second épisode et de noter les améliorations.

Facebook
Twitter
LinkedIn

Réseaux

Me contacter

contact[at]gohanblog.fr

Charte éditoriale

Nos contenus peuvent contenir des liens à travers lesquels nous percevons une commission, et ils peuvent être créés en partenariat avec des marques. Cependant, il est important de noter que cela n’affecte en aucune manière l’objectivité de nos articles.